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Artistes. Musiciens & Techniciens

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Né à Strasbourg en 1973, Martin étudie la flûte àbec et la viole de gambe au conservatoire de Strasbourg, et d’autres instruments en autodidacte.

Il se perfectionne au Conservatoire de Bruxelles en viole de gambe avec Wieland Kuijken, puis à Bâle. En musique ancienne, il a participé à de nombreux ensembles et joue aujourd’hui en France avec les ensembles Les Nouveaux Caracteres, les Cris de Paris, La Fenice, la Camera delle Lacrime, Flores musices... en Belgique avec la Cetra d’Orfeo et participe régulièrement àdes productions d’opéras baroques et un projet de duo improvisé, avec le violoniste Matthieu Camilleri.
Peu à peu il acquiert une expérience avec des artistes travaillant dans des domaines différents : musique improvisée, théâtre, danse baroque et contemporaine, chanson, musique traditionnelle.

"Après une formation "classique", ma réelle formation de musicien s'est faite par des rencontres musicales et extra musicales. Mon domaine principal est le travail sur des partitions anciennes et des instruments anciens ( et plus particulièrement la viole de gambe). Mais je crois qu'il est essentiel de faire toujours le lien : jouer aujourd'hui cette musique en fait de la musique contemporaine.

Pêle-mêle mes influences : Chaabi (musique du maghreb), danse contemporaine et baroque, opéra, bee-bop, le cornet à bouquin, les chanteurs et chanteuses, lyriques, jazz, rock, la musique franco-flamande, les Allemands du XVIIème siècle, des compositeurs, des improvisateurs.... toutes sortes de musiciens connus, peu connus ou anonymes qui jouent et participent àtoutes ces merveilles sonores qui tous les jours s'éveillent et meurent."

Après un parcours classique, Sylvain s'oriente vers les musiques dites populaires : chanson, rock, fusion, puis la musique Klezmer par laquelle il aborde le répertoire des Balkans.

Il se concentre alors sur l'étude de la Gadulka (violon traditionnel bulgare) et du répertoire folklorique et tzigane de Bulgarie.

Plus tard la rencontre avec la danse contemporaine et le théâtre est décisive; il entrevoit une part d'inconnu qui lie les choses, un endroit où les énergies se rencontrent et interagissent par la friction des  langages, qu'ils soient pré-définis ou en réinvention permanente.

Il se concentre alors sur le travail au plateau pour lequel il compose et se prête au jeu du musicien/acteur pendant plus de dix années.

Ses compositions pour la scène, souvent "ouvertes", tendent à créer des ponts vers ce lieu où le dialogue naît, le langage musical se révélant souvent au travers d’improvisations.

 

Désireux de creuser les questions du langage dans les écritures contemporaines, il achève actuellement un cursus de composition au CRR de Bordeaux dans la classe de J-L Agobet.

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Thierry Gomar est un artiste inclassable qui brise les hiérarchies entre musique classique, musique ancienne, musique populaire, jazz, musique contemporaine.

Artiste novateur, son talent de percussionniste, vibraphoniste et improvisateur est salué par de très grands artistes dans le monde: Lukas Ligeti, Peter Eotvos, François Rossé, Antoine Hervé, Benoît Delbecq, Bruno Mantovani, Dave Samuels...

 

Il est actuellement considérécomme l'un des vibraphonistes les plus créatifs de sa génération. La revue américaine "All about jazz" le classe en 2010 parmi les très grands vibraphonistes actuels dans le monde.

Concerts àNew York, San Francisco, New Delhi, Mexicali, Montréal, Philharmonie de Berlin, Festival de Salzbourg, Paris salle Gaveau, Bruxelles (Théâtre de la Monnaie), Barcelone (Opéra-Liceu), Madrid, Rome, Köln, Francfort, Brême, Utrecht, Amsterdam...

Ses enregistrements en musique médiévale, renaissance, baroque, musique contemporaine, jazz, musiques traditionnelles, sont régulièrement salués par la critique internationale et les magazines spécialisés: Enregistrement de l'année par le quotidien "Le Monde", 5 “Diapason d'Or”, 2 “Choc musique” ...

Ses derniers concerts en musiques improvisées l'on conduit dans le club "The Stone" à New York avec le collectif John Zorn, Lukas Ligeti, Aya Nishina, Paolo Angeli, le collectif d'artistes "Red Light New Music" de la Manhattan School of music.

 

En 2019, il a enseignéàl'universitéde Stanford en Californie.
En 2020 il sera en résidence de composition-improvisation àNew York (synthèse de sons-bruits) pour une nouvelle création et performance.

" D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours fabriquédes objets. Quand j’avais tout juste 6 ans, je construisais des cercueils en bois dans l’atelier de mon grand-père pour y mettre les cadavres de lézards que les chats avaient abandonné, je fabriquais un ascenseur pour mes petites voitures avec une boite de céréales, je démontais mon radio réveil pour y changer les connections et le rebrancher ensuite, juste pour voir...

Et puis j’ai découvert les crayons et la peinture. J’ai commencéàreproduire les personnages des œuvres célèbres, de Léonard de Vinci àVermeer en passant par Uderzo.

Ensuite les études, avec leurs cases et leurs concours. Je m’y suis tout de suite senti prisonnier, il a fallu que je m’en échappe, en plein milieu, par la sortie de secours de l’école des Beaux-arts...

J’eus alors l’opportunité d’apprendre le métier de technicien du spectacle vivant grâce àune formation d’un an. Là il n’y avait pas de concours, j’étais parmi les plus àl’aise de ma promo. J’ai beaucoup voyagé, découvrant des territoires insoupçonnés grâce àune grande variétéde substances illicites. De retour sur Terre, j’ai rejoins le monde du spectacle Parisien qui me permit d’être tour àtour technicien, régisseur, constructeur, auteur, acteur, enseignant, ingénieur son, vidéaste, reporter, et dernièrement directeur artistique de compagnie.

Voilàque j’avais fait le tour de ce monde qui m’apporta beaucoup mais qui n’était pas le mien.

 

Et puis je suis revenu chez moi, dans le sud, je me suis essayé àl’entreprise, frottéau patronat, confrontéaux objectifs, uséau quotidien...

Pendant les plus longues heures de mon boulot, je ressassais toutes ces œuvres dont je m’étais gavédurant trente années et au milieu d’elles, il y avait les toiles de Klimt avec leurs personnages qui me fixaient en tournoyant de plus en plus vite dans mon crâne...

Juste avant de devenir dingue, j’ai recommencéàcréer, avec tout ce qui me tombait dans les mains, comme quand j’étais gosse. De la peinture àl’huile jusqu'àla soudure en passant par le moulage ou les techniques avancées du macramé, j’ai toujours eu ce besoin d’apprendre de nouvelles techniques, de nouveaux savoirs, de les expérimenter jusqu’àen comprendre le fonctionnement et en percevoir les subtilités.

Aujourd’hui je suis père et j’ai décidéde prendre le seul risque valable, celui d’être heureux et de me mesurer àmoi-même. J’ai monté une sociétéqui ne rentre dans aucune case avec laquelle je fais de tout. Vous ne verrez jamais mon nom tout en haut d’une grande affiche, mais vous le lirez peut- être en tout petit, sur 100 autres...."

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PRISE DE SON MUSICALE & FIELD RECORDING

Légère, mobile, autonome, ma régie s'inspire des plateaux de cinéma.

Elle s'articule autour de préamplis portables prestigieux :  NagraIVS, Micromix E2A, Sonosax SX S8.  

Ces outils offrent autonomie, fiabilité, grande réserve dynamique,   détails, finesse, réponse étendue et précise dans le grave.

Couplés à des microphones broadcast tel que schoeps, dpa, beyer à ruban,  ils garantissent le respect du timbre, du relief et de la profondeur des formations  musicales et des paysages enregistrés.

 

REALISATION SONORE

La spécificité de ma régie nomade ouvre un champ d'expérimentation pour nourrir des compositions de matière non instrumentale, enrichir la construction d'un album de  "plan sonore" cinématographique, enregistrer des rencontres et autres moments fugitifs lors de "road trip" et tournée à l'étranger  grâce à une mise en oeuvre rapide et un transport facilité , sans concession sur le grain et la qualité des prises.

Les possibilités sont multiples :

Captation au couple stéréophonique /  Traveling sonore à la perche  Nagra Ivs à l'épaule (enregistrement analogique)

Installation dans des lieux insolites ( jusqu'a 8 pistes en autonomie ) /  Multimicrophonie standart avec résaux casques et overdub 

Ma démarche s'adresse de façon privilégié aux formations acoustiques de qualité, classique, jazz, musique improvisé en recherche d'écriture sonore.

Consultez son site pour en savoir plus... avec de belles images sonores !

Auteur de contenus documentaires originaux.

VIDEO...Pour une Aparté du Festival Tord Boyaux, 

le 6 avril 2019, au Dôme

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 Sarah van Oudenhove commence la viole de gambe à l'âge de six ans dans la classe de Christian Sala au conservatoire de Perpignan.

Elle entreprend également des études de clavecin dans la classe de Carole Parer.

En 1995, elle intègre parallèlement la classe de viole de gambe de Coen Engelhard au département de musique ancienne de Toulouse.

Elle obtient son prix de solfège à Perpignan en 2002 et son prix de viole de gambe et de musique de chambre en 2003.

Elle intègre ensuite la classe de viole de gambe de Marianne Muller au CNSMD de Lyon et obtient son prix en 2008.

Elle a participé à de nombreux stages ou master-classes avec Jerôme Hantaï, Wieland Kuijken, Christophe Coin ou Jordi Savall.

Elle joue et enregistre régulièrement avec des ensembles tels que l'Achéron, the Curious Bards, les Sonadori, Clématis, la Chapelle Rhénane, Correspondances, le Poème harmonique, la Rêveuse, les Traversées Baroques, l'ensemble Gilles Binchois, Mare Nostrum, la Capella Mediterranea, le choeur de chambre de Namur...

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